A LA "UNE" DE TOUS LES MEDIAS DE LA TERRE...
L'affaire Ramses II :
Tous les médias en ont parlé... les 29 et 30 novembre 2006
LE FIGARO : « Des « cheveux » de Ramses II en vente sur Internet » « Qui interdit de vendre les cheveux de Ramses II ?
LE MONDE : « Les pièces pourraient être authentiques »
FRANCE SOIR : « Le retour de la momie »
LIBERATION.FR : « Vends cheveux de Ramsès II »
LE PARISIEN : « Des cheveux de Ramsès II vendus sur Internet »
TF1 : Le JT 20h00
A2 : Le JT de 20h00
FR3 : Le JT de 20h00
LCI : (10 passages), i-télé, et bien d'autres...
Et aussi dans la presse régionale:
LA DEPECHE DU MIDI : « Des mèches de cheveux de Ramsès II en vente sur Internet » (29/11/2006)
SUD-OUEST : « Archéologie : la police enquète sur le mise en vente via Internet de « cheveux » de Ramsès II qui auraient pu être prélevés par un chercheur français » (29/11/2006)
LA VOIX DU NORD : « La vente de cheveux de Ramsès II : scandale ou canular ? » (30/11/2006)
NOUVELOBS.COM : « Cheveux de Ramsès II : La police enquète » (29/11/2006)
LE DAUPHINE LIBERE : « Un Isérois veut vendre des mèches de Ramsès II » (29/11/2006)
DNA : « Des mèches de cheveux de Ramsès II en vente sur Internet » (29/11/2006)
L'YONNE REPUBLICAINE : « Cheveux de Ramsès II en vente sur Internet : le vendeur interpellé » (29/11/2006)
Sur le blog de Vivastreet
Vu sur le blog de Vivastreet une vidéo mise en ligne concernant la vente des mèches de cheveux de la momie de ramsès II.
mercredi 29 novembre 2006
Vends mèches de cheveux de Ramsès II
sources :
La mise en vente sur un site Internet français de prétendues mèches de cheveux de Ramsès II menace de tourner au scandale entre l'Egypte et la France. L’homme qui a mis en vente les échantillons sur le site de petites annonces Vivastreet.fr affirme que son père, aujourd’hui décédé, avait travaillé à la fin des années 70 au Commissariat à l’énergie atomique de Grenoble sur l’analyse d’échantillons provenant de la momie du plus célèbre des pharaons. Une information confirmée par le porte-parole du CEA qui avoue également avoir perdu toutes traces de ces fameux échantillons. Une enquête et des analyses sont en cours. Si les mèches de cheveux sont authentifiées, le commissaire égyptien aux antiquités, Zahi Hawass, a déclaré qu’il exigerait des excuses de la part de la France. Il a également demandé que le coupable soit puni sévèrement. Les sites de petites annonces ou d’enchères sur Internet sont des vrais paradis pour receleurs.
photo : L'annonce était encore visible mercredi soir.. © vivastreet.fr
source : http://sites.radiofrance.fr/
Société 29 nov. 2006 7h00
Vend cheveux de Ramsès II
Un homme qui voulait mettre en vente une mèche du pharaon a été arrêté. Il se présente comme le fils d'un chercheur ayant conservé les cheveux de la momie. Son annonce, parue sur un site internet d'annonces, a scandalisé les égyptologues.
Le vendeur, 50 ans, est facteur de profession. Il a indiqué être en possession de ces mèches et de petits morceaux de bandelette car son père a participé à des opérations d’analyse et de traitement de la momie effectuées à Grenoble en 1976 et 1977.
La PJ de Grenoble a saisi une dizaine de petits sacs en plastique contenant de minuscules échantillons de cheveux et de bandelette d’une longueur maximum d’un centimètre, censés avoir appartenu à Ramsès II. L’ensemble des sacs ne pèse que quelques grammes.
Une enquête-éclair, ouverte en France, a rapidement abouti à l’arrestation du vendeur à Saint-Egrève, en Isère. Le facteur, qui pourrait être remis en liberté dans la journée, était toujours entendu mercredi matin par les policiers. Il faudra désormais attendre les expertises pour savoir si les fameux cheveux étaient bien authentiques. Il pourrait faire l’objet de poursuites notamment pour recel.
Conservée au musée du Caire, la momie de Ramsès II avait été envoyée en France, il y a 30 ans, pour déterminer les causes du mal étrange qui rongeait le cadavre du dernier grand pharaon. La momie royale, première et dernière à quitter le sol égyptien, fut «reçue» à l’aéroport du Bourget, à Paris, le 26 septembre 1976, avec les honneurs d’un chef d’Etat. «Je dois être le seul au monde à posséder de tels échantillons», écrivait le vendeur, ajoutant que «comme il n’y aura plus jamais aucun prélèvement sur la momie qui est désormais au Caire, la somme demandée pour les acquérir est en relation avec la rareté de l’objet».
Le Musée de l’Homme de Paris avait confié, à l’époque, le soin d’analyser des cheveux de la momie aux laboratoires de L’Oréal. Ces analyses avaient conclu qu’ils avaient été roux, ou colorés au henné. Il avait été «formellement interdit de conserver des prélevements», assure Christian Leblanc chargé de recherche à l’institut d’égyptologie thébaine. «Si cela est vrai, c’est un chercheur et non la France qui a trahi la parole donnée» insiste t-il.
Société 30/11/2006 à 00h17
Ramsès II, à un cheveu d'une crise diplomatique
NOCE Vincent
Des cheveux de Ramsès II mis en vente sur le Net. C'est Christian Leblanc, archéologue français conduisant des fouilles à Thèbes (aujourd'hui Louxor), qui eut la surprise de découvrir cette annonce circulant en France sur eBay et le serveur vivastreet. Il y a une dizaine de jours, l'attaché de sécurité à l'ambassade de France au Caire fit parvenir à Paris cette inquiétante nouvelle, susceptible de virer au sac de noeud diplomatique. Aussitôt, l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) a été mis en alerte. Comme le vendeur avait eu l'obligeance de préciser dans ses annonces son adresse, il fut rapidement identifié.
Mardi après-midi, le correspondant de l'Agence France Presse au Caire divulgue la nouvelle.Les hommes de la police judiciaire de Grenoble et de l'OCBC débarquent vite dans la commune de Saint-Egrève (Isère), pour interpeller un facteur de 50 ans, Jean-Michel Diebolt. Celui-ci avoue avoir mis en vente les cheveux hérités de son père Jean, mort en 2001, un chercheur spécialisé en physique nucléaire au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), à Grenoble, qui avait étudié la momie quand elle avait été envoyée en France en 1976 pour des examens.
Bandelettes. Lors de la perquisition, sept petites boîtes en plastique, contenant ce qui apparaît comme des cheveux, et une dizaine de sachets en plastique d'un mélange présenté comme des brins de cheveux, de la résine de momification et de bandelettes en décomposition ont été saisis. Le facteur a été remis en liberté après 24 heures de garde à vue sans être mis en examen. Il aurait admis avoir en sa possession seulement trois cheveux du pharaon, les autres attributs pileux étant ceux d'autres momies et de sa propre soeur... Sur France 3 Alpes, il a présenté «ses excuses à l'Egypte», n'imaginant pas qu'il provoquerait «un incident diplomatique.» Il a raconté qu'il avait été incité après avoir vu un collectionneur américain payer 150 000 dollars des cheveux d'Abraham Lincoln. Le facteur proposait ces échantillons à la vente entre 2 000 à 10 000 euros chacun. Sur eBay, l'annonce voisinait avec un «buste rare» du pharaon, proposé à 1,99 euro. «Une équipe de quatre chercheurs dont mon père a eu pour tâche d'analyser des cheveux, des résines, des morceaux de bandelettes», écrivait le vendeur. Se disant «seul au monde à posséder de tels échantillons», il jugeait «la somme demandée en relation avec la rareté de l'objet».
Conservée au musée du Caire, la momie de Ramsès II avait été envoyée en France il y a trente ans pour déterminer les causes d'une moisissure dont elle était atteinte. Le diagnostic avait pointé un champignon rare, le Deadalea biennis fries. La momie fut traitée aux rayons gamma. Mais les chercheurs n'ont pas perdu une occasion unique d'examiner Ramsès II sous toutes les coutures, permettant d'établir que le pharaon avait la peau claire, qu'il était âgé d'environ 80 ans au moment de sa mort et mesurait 1,72 m. Mis à contribution, le laboratoire de L'Oréal put indiquer qu'il avait les cheveux roux, ou colorés au henné.
«Indigne». Aujourd'hui, la communauté scientifique est sous le choc. Pour l'égyptologue Alain Zivie, «il faut prendre très au sérieux» cette affaire «misérable et indigne». «C'est un scandale, il est formellement interdit de conserver des prélèvements», s'est exclamé Christian Leblanc. Chef de la mission française à Thèbes, où Ramsès II avait érigé nombre de monuments durant son règne, il a ajouté : «Si cela est vrai, c'est un chercheur et non la France qui a trahi la parole donnée.» A Paris, un porte-parole du Quai d'Orsay a promis «toute la lumière», se disant «convaincu que les relations entre la France et l'Egypte dans ce domaine, objet d'une coopération exemplaire depuis deux siècles, ne souffriront pas de ces agissements». Pourtant, le chef du Conseil des antiquités au Caire, Zahi Hawass, a proclamé que ce «scandale» avait toutes chances d'«endommager les relations entre l'Egypte et la France», dont il attend des «excuses».
Les déclarations du CEA à Grenoble, qui admet avoir reçu pour examen des fragments de la momie dont nul ne sait ce qu'ils sont devenus, n'ont pas dû le calmer. Car selon un responsable, des échantillons ont ainsi été envoyés à «une quarantaine de laboratoires en France». Il a affirmé qu'ils n'avaient été pas été prélevés : «Ces fragments se sont détachés et sont tombés quand la momie a été sortie de son linceul.»
Sources : http://www.liberation.fr/
Culture 08/12/2006 à 00h25
Tensions autour de l'affaire Ramsès II
NOCE Vincent
Zahi Hawass, patron du Conseil des antiquités égyptiennes, a menacé la France «de ne plus [lui] confier aucune pièce en prêt», à la suite de l'affaire des cheveux de Ramsès II (Libération du 30 novembre). «Cette affaire est très grave. Je ne vois pas comment je pourrais encore prêter un objet à la France», a-t-il déclaré hier à Libération. Il a indiqué avoir engagé une demande de restitution des fragments de la momie et redemandé «des excuses de la France, le châtiment du coupable et une enquête complète». Un responsable français avait admis que des échantillons avaient été envoyés à une quarantaine de laboratoires alors que la momie était examinée à Saclay, et aucune poursuite n'a été engagée contre le fils du scientifique qui en avait mis en vente sur le Net. Zahi Hawass a tenu ces propos au Grand Palais, où les présidents Chirac et Moubarak inaugurent aujourd'hui l'exposition «Trésors engloutis d'Egypte».
Sources : http://www.liberation.fr/
actualite 02/04/2007 à 07h00
Les cheveux de la momie de retour en Egypte
AFP
«Les cheveux de Ramsès II sont revenus en Egypte, dans leur pays, et seront replacés sur la tête de la momie» qui se trouve au musée du Caire, se félicite Zahi Hawass, le directeur des antiquités égyptiennes.
En novembre, un facteur français avait proposé à la vente, photos et certificats à l’appui, des mèches de cheveux censées avoir été prélevées sur la momie de Ramsès II, pour un minimum de 2.000
euros.
La communauté archéologique française s’était déclarée scandalisée par cette affaire, consciente de l’importance symbolique que revêt aux yeux des Egyptiens une atteinte à «Ramsès le Grand».
La police avait finalement récupéré les cheveux auprès du facteur. La momie de Ramsès II avait été envoyée en France il y a 30 ans pour déterminer les causes du mal étrange rongeant le cadavre du dernier grand pharaon, qui avait régné de 1279 à 1213 avant J.C. Une fois traitée aux rayons gamma, elle avait été rapatriée en Egypte.
«C’est la fin de cette malheureuse histoire», a ajouté Zahi Hawass, en allusion à la polémique que cette affaire avait provoquée entre la France et l’Egypte.
Sources : http://www.liberation.fr/
Culture 03/04/2007 à 06h59
Le secret de la momie épilée
Les poils pharaoniques qu'un Français avait mis en vente sur le Net sont retournés hier en Egypte (Libération du 30 novembre 2006). «Les cheveux de Ramsès II sont revenus dans son pays et seront replantés sur la tête de la momie au musée du Caire, s'est félicité le directeur des antiquités égyptiennes. C'est la fin d'une malheureuse histoire.» L'histoire remonte à novembre, quand un curieux quidam mit à prix, photos et certifs à l'appui, des touffes arrachées au cuir chevelu de Ramsès II, pour 2 000 euros premier prix TTC. La communauté archéologique française outrée, le vendeur singulier avait dû expliquer que son père mort en 2001, ayant participé à des opérations d'analyse de la momie, lui avait remis, distrait, quelques restes du mort antique.
Sources : http://www.liberation.fr/
Instants télé
Médias 02/12/2006 à 00h20
Oh ! Thomas la te-hon Salauds de jeunes. Vous les élevez bien comme il faut, vous attachant à en faire des adultes responsables. Et voilà qu'ils vous mettent la honte sur toute la famille. C'est ce qui arrive à Laurent Fabius : son fils Thomas sera chroniqueur dans la nouvelle émission pipeule de Benjamin Castaldi, Langue de VIP (TF1, le 18 décembre).
Gérard, arrête d'enfumer la télé De méchantes gens ont remis mercredi «les Gérards de la télévision», qui sacrent «les pires programmes». Parmi les gagnants : l'Arène de France de France 2 («la plus mauvaise émission») ou Jean-Pierre Pernaut («plus mauvais présentateur»). Et figurez-vous que ces cuistres sont allés jusqu'à décerner à Steevy le trophée de «pire animateur». Ces gens-là ne respectent rien.
Patrick t'es pas chic Humilié en direct par Sarkozy la semaine dernière au sujet de son interview («un bien grand mot») de Ségolène Royal, PPDA s'est vengé mercredi en n'annonçant sa candidature à la présidentielle qu'en quatrième position. Bien après les cheveux de Ramsès II.
Bonne nouvelle A la question posée par Télé 7 Jours de savoir qui était son animateur préféré, Julien Lepers a répondu : Julien Lepers. Sources : http://www.liberation.fr/
INSOLITE : UN COLLECTIONNEUR DE MECHE DE CHEVEUX !
mardi 5 août 2008
GALIP, LE COLLECTIONNEUR DE CHEVEUX
AVANT DE DECOUVRIR LES POTERIES DE GALIP
A Avanos, une curiosité, Galip, le plus célèbre potier de la ville collectionne les mèches de cheveux de femme et il les étiquette avec les coordonnées de sa "victime". Galip figure dans le Guiness Book of Records avec ses trophées suspendus au plafond de son atelier troglodytique, plusieurs centaines de milliers !
Attention vos cheveux, Mesdames, si vous passez par Avanos !
Crisis franco-egipcia: a Ramsés II le toman el pelo.
Pocas veces un mechón de pelo ha causado tanto revuelo. De hecho, apunto ha estado de provocar una crisis diplomática entre Francia y Egipto. Y es que no se trata de un mechón de pelo cualquiera, sino que procede de la cabellera del faraón Ramsés II.
Esta historia comienza cuando un cartero francés de 50 años, Jean-Michel Diebolt, puso el siguiente anuncio en internet, que ayer aún podía verse: «Vendo mechones de cabello de la momia de Ramsés
II». En la página de anuncios gratuitos Vivastreet.fr, el cartero muestra fotos y certificados de esta reliquia de más de 3.000 años. Además, ofrece trozos de las vendas que envuelven la momia
(su precio oscila entre 2.000 y 2.500 euros) y la resina que se utilizaba para embalsamar en el Antiguo Egipto. «Soy el único que las posee y nunca más se podrán extraer de la momia. La suma
exigida es proporcional a la rareza del producto», explicaba Diebolt en el polémico anuncio.
¿Cómo llegaron a manos de este cartero francés los cabellos del faraón más célebre de Egipto? Su padre, explica, participó en los análisis que se le hicieron a la momia en Francia entre 1976 y
1977 para determinar las causas de un extraño mal que deterioraba los restos del faraón. Tras unos análisis de rayos gamma, se determinó el hongo que provocaba la putrefacción de la momia. Dicho
estudio ayudó además a determinar algunos rasgos de Ramsés II: tenía 80 años cuando murió, medía 1,72 metros, tenía la piel clara... La momia se repatrió a Egipto en 1977. Nunca más ha salido del
país.
En libertad sin cargos.
El martes por la noche la Policía de Grenoble confiscó en casa de Diebolt una decena de bolsas de plástico con cabellos y trozos de vendas y fue detenido en su domicilio de la ciudad de
Saint-Egr_ve, cerca de Grenoble, para ser interrogado. Horas más tarde fue puesto en libertad sin cargos.
Tras salir de la comisaria, fue entrevistado por France 3: «Jamás hubiera imaginado que podía ocasionar un incidente diplomático. Lo lamento mucho. Pido excusas al Gobierno egipcio y las enviaré
por escrito al Museo de El Cairo». Aclaró que la Policía le había dicho que «como era sincero y había entregado voluntariamente todo el material no habrá acciones judiciales contra mí».
Las reacciones se sucedieron tanto en Francia como en Egipto, donde la noticia cayó como una bomba entre los arqueólogos. «Estamos esperando ver los resultados de la investigación, pero, si se
confirman, exijo recuperar todas las reliquias. Había un acuerdo entre Francia y Egipto para evitar este tipo de situaciones», comenta Zahi Hawass, responsable de las antigüedades egipcias,
informa Afp.
«Espero que se trate de un timo. La momia de Ramsés II es un monumento nacional egipcio. Si las piezas son auténticas sería un escándalo. Se corre el riesgo de que se dañen las relaciones entre
Francia y Egipto», añade Hawass, quien insta a Francia a que haya transparencia total en la investigación. Ayer escribió tanto al Museo del Louvre como al embajador de Francia en El Cairo,
Philippe Coste, para pedir explicaciones.
Un portavoz del Ministerio francés de Asuntos Exteriores confirmó que éste se halla en permanente comunicación con las autoridades egipcias y afirma que las relaciones bilaterales entre ambos
países han sido siempre ejemplares y que no se verán perjudicadas por este asunto, muy complicado judicialmente. Por un lado, el supuesto delito lo cometió el padre del cartero, que murió en
2001. Además, los hechos ocurrieron hace 30 años, con lo cual el delito habría prescrito.
La arqueóloga Christiane Desroches-Noblecourt cree que es inverosímil, porque los restos siempre estuvieron bajo el control de los científicos: «Pero sin son auténticos, sería una vergüenza, un
escándalo y un sacrilegio». Otro arqueólogo francés, Christian Leblanc, uno de los máximos expertos en Ramsés II, afirma que, de confirmarse la autenticidad, «sería inaceptable».
El responsable del Comisariado para la Energía Atómica (CEA) en Grenoble, François Michel, recuerda que en 1976 la momia no salió del Museo del Hombre de París; allí se tomaron unas muestras
-ignora dónde fueron a parar-, que se enviaron para ser analizadas a Grenoble y a otros 40 laboratorios franceses. El padre de Diebolt trabajaba en el CEA.
La polémica sale a la luz apenas unos días antes de que Hosni Moubarak y Jacques Chirac inauguren (el día 8) en el Grand Palais de París una exposición de los tesoros sumergidos de Egipto.
Publié sur http://historia-antigua.blogspot.com/2006/11/crisis-franco-egipcia-ramss-ii-le.html
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